Essai de la Honda Africa Twin DCT 2017 – première partie
Quelques photos et commentaires en direct de la route pandant l'essai de la Honda Afrca Twin DCT 2017.
En suivant, assez librement quand même, les routes proposées par Max Burns dans son bouquin "These are a few of my favourite roads" avec pour sous-titre "The most expedient route to cross, and see, Canada slowly" dans lequel il propose sa version d"une traversée du Canada de Terre-Neuve à la Colombie Britanique sans toucher, ou presque, à la Trans-Canadienne.
J'ai proposé le projet aux représentants de Honda Canada en indiquant que j'y trouverais le scénario propice à démontrer les qualité et la versatilité de l'Africa Twin; des autouroutes, des routes secondaires, d'autres encore plus reculées, des sections hors pavage et des paysages intéressants par dessus tout ça.
Et ils ont dit oui !
J'ai pris possession de l'Africa Twin alors quelle ne montrait que 349 kilomètres. Elle était à 1131 à la fin de la première journée. Au moment d'écrire ces lignes, à peine 48 heures plus tard … elle en affiche 1728. Et ce n'est pas fini !
Parti de Québec, je me suis dirigé vers Moncton d'abord, puis l'Île du Cap-Breton et les lacs Bras d'Or. Demain je m'élance sur le Cabot Trail et puis l'Île du Prince-Édouard suivra avant de remonter par les petits chemins du Nouveau-Brunswick.
Mais revenons à la moto. C'est déroutant durant la première minute – la transmission DCT je veux dire. Puis après la première minute, ça devient rapidement naturel. Il n'y a tout simplement pas de commande d'embrayage. Il suffit, une fois le moteur en marche, d'enclencher la transmission. Et de tourner la poignée des gaz. Voilà, c'est tout.
Bien sûr, il y a différentes façons d'opérer la transmission. Et les modes de gestion du moteur. Et de désactiver l'ABS de la roue arrière. Et d'enclencher le mode "garnotte", et tout le reste.
Pour le moment, elle fonctionne à merveille !
Quelques autres publications viendront compléter le portrait au fur et à mesure que j'avance ainsi qu'un rappport synthèse un peu après mon retour.
Alain Labadie
Éditeur en chef, MagazineMoto.com