Mon coup de cœur de l’été 2015 – L’Île-du-Prince-Édouard (I.P.E)
Note de la rédaction:
Avec la saison qui achève, nous avons demandé à chacun de nos collaborateurs de nous parler de leur coup de coeur de la saison 2015 – sans préciser s'il devait s'agir d'une moto, d'une pièce d'équipement, ou encore d'une destination ou d'un bout de route. Le collègue Jacques Bélanger a rapidement répondu – l'île-du-Prince-Édouard !
Motocycliste de longue date, Jacques s'est converti récemment au 3 roues Spyder.
Vous cherchez une destination moto sans avoir à vous préoccuper du taux de change
d’argent Canada / É.U ?
Vous avez déjà parcouru la Cabot Trail en Nouvelle-Écosse ?
Alors pensez à l’Île-du-Prince-Édouard.
Voici un regard sur notre expérience d’un voyage de 5 jours.
Août 2015, on embarque le Spyder dans la remorque vers I.P.E. D’abord quelques jours à Shédiac N.B afin de profiter de la plage et de randonnées en moto avant de poursuivre notre voyage.
Un arrêt au Pont de la confédération (du côté de l’I.P.E) et à son centre d’information est indispensable pour nous procurer les guides touristiques.
Quelques dizaines de kilomètres encore jusqu’à notre destination centrale soit Canvendish le pays de
« Anne la maison aux pignons verts » de Lucy Maude Montgomery.
De là, nous nous sommes tracé trois parcours d’environ 250 km chacun à partir de la documentation de l’Office du tourisme de l’I.P.E, avec comme thème la découverte des saveurs.
Chaudrées de fruits de mer, vins de bleuets, homards, et compagnie seront les prétextes et justifications de nos détours.
http://www.tourismpei.com/ipe-regions-touristiques
Quel plaisir que de rouler sur des belles routes presque désertes offrant des vues imprenables avec comme mission de découvrir des producteurs de vins artisanaux ou de déguster des fruits de mer et diverses spécialités des insulaires dans leurs petits commerces.
En fin de journée, nous retournions à notre motel pour profiter de la soirée, discuter des paysages, des expériences vécues et planifier notre parcours du lendemain.
Pourquoi la moto dans la remorque me direz-vous. « La «run» est trop longue sur les routes du Nouveau-Brunswick avec ma conjointe sur le siège arrière sous la pluie (Lévis vers le Pont de la confédération = 860 km)».
D’autre part, une fois rendus, s’il pleut, on laisse la moto dans la remorque et on visite en auto tout en profitant de la vie. Il ne faut pas manquer une visite de Charlottetown et son musée historique sur la Confédération canadienne. S’il fait beau, pourquoi pas les plages magnifiques de l’I.P.E !
Bonne route !
Jacques Bélanger,
Collaborateur, MagazineMoto.com